Test Labo

Test Labo du Google Pixel 3 : proche de la perfection

11 janvier 2019
Par Laure Renouard, Jean-Charles Frelier
Test Labo du Google Pixel 3 : proche de la perfection

En résumé

Note LABOFNAC

Le Pixel 3 est sans nul doute une véritable réussite. Joli sans être révolutionnaire, il parvient à séduire alors même qu’il n’atteint pas l’excellence de ses concurrents directs sur certains points – son écran n’est pas réellement borderless, son autonomie est bonne, sans plus, et il ne joue pas la surenchère en matière de capteurs photo. Et pourtant, il convainc sans peine, puisqu’aucune véritable lacune, à l’exception peut-être de son stockage non extensible, ne vient ternir sa prestation. Il s’impose comme un véritable photophone malgré son unique appareil photo dorsal, propose un bel écran adapté au visionnage de contenus multimédias et bénéficie d’un logiciel simple, mais très efficace.

Note technique

Les plus et les moins

Les plus
  • Boîtier fin et élégant
  • Bel écran
  • Charge rapide et sans fil
  • Options photo convaincantes
Les moins
  • Autonomie correcte, sans plus
  • Mémoire non-extensible
  • Pas vraiment dans la mouvance des écrans bord à bord

Détail des sous notes

Réseau et connectivité
Écran
Cette note reflète la qualité globale de l'écran
Photo
Cette note reflète la performance de l'appareil à produire des clichés de qualité
Capteur principal (arrière)
Capteur frontal (selfie)
Autonomie
Plus la note est elevée et plus le smartphone restera allumé sans avoir à être rechargé.
Performance et rapidité
Un smartphone qui exécute le plus rapidement possible toutes sortes de tâches obtiendra un 10/10
Qualité audio
Cette note reflète de la qualité globale du système audio du smartphone

Notre test détaillé

Après deux générations de Pixel réservées à des marchés dont la France était exclue, la série Pixel 3, incarnée par le modèle “classique” qui nous intéresse ici et sa déclinaison XL, fait ses débuts hexagonaux. L’attente en valait-elle la peine ? La réponse dans les lignes qui suivent, après le passage de ce Pixel 3 sur notre banc d’essai.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, un peu d’histoire. En 2016, Google interrompait la production de ses Nexus, conçus et fabriqués par des marques partenaires et embarquant la dernière version d’Android disponible. Ils ont alors été remplacés par des Pixels, conçus en interne par les équipes de Google, commercialisés à un tarif haut de gamme et réservés à quelques marchés, notamment anglophones. En 2017, pour accélérer encore le développement de ses appareils, Mountain View a acquis une partie des effectifs de HTC. Montant de la facture : 1,1 milliard de dollars. Un an plus tard est née une nouvelle série de smartphones Google, dont le Pixel 3.

Google Pixel 3

© Fahim Alloul / LaboFnac

L’appareil, vendu à un tarif haut de gamme, bénéficie d’une fiche technique elle aussi premium. Il propose un écran OLED de 5,5 pouces au ratio 18:9, sans encoche, et affichant 2160 x 1080 pixels. Dans son boîtier de 145,5 x 68,2 x 7,9 mm pour 148 grammes siègent un chipset Qualcomm Snapdragon 845 octo-core associé à 4 Go de mémoire vive, mais aussi un espace de stockage non-extensible de 64 (notre version de test) ou 128 Go. L’appareil présente en outre une batterie de 2915 mAh compatible avec la charge rapide et la charge sans-fil Qi, un port USB Type-C servant également de connecteur audio en l’absence de prise jack 3,5 mm ainsi qu’un lecteur d’empreintes dorsal. Côté photo, Google ne cède pas à la tendance des doubles, voire triples modules : son Pixel 3 propose un unique capteur de 12,2 mégapixels au dos, avec des pixels de 1,4 µm et un système de stabilisation optique. En façade toutefois, le géant américain mise sur deux capteurs de 8 mégapixels, dont le second est affublé d’une optique ultra-grand-angle. Sans surprise pour finir, notez que le Pixel 3 tourne d’emblée sous Android 9.0 Pie, la toute dernière mouture du système d’exploitation de Google.

L’ergonomie et le design

Les Pixel ont beau être inédits en France, force est de constater que le Pixel 3 prend la suite logique du Pixel 2 en termes de design. On retrouve le même format tout en rondeur très agréable en main, avec une bande contrastante au dos de l’appareil, elle-même héritée du Nexus 6P. Le smartphone est quoi qu’il en soit compact au regard de ses concurrents haut de gamme, et affiche des dimensions similaires à celles d’un Galaxy S9, par exemple, bien que son écran soit légèrement plus petit : il mesure 5,5 pouces de diagonale, contre 5,8 pouces pour le S9. Il se paie même le luxe d’arborer des bordures d’écran fines, mais visibles, ce qui ne choque pas, d’autant qu’il fait l’impasse sur l’encoche (notch) qui déplaît à beaucoup. Sa finesse (7,9 mm) contribue en outre à une préhension agréable.

Google Pixel 3

© Fahim Alloul / LaboFnac

Au rayon des bons points, on relève une finition dorsale en verre au toucher doux qui accroche peu les traces de doigts : bon point, d’autant que la sécurisation du smartphone passe par un lecteur d’empreintes dorsal. Seule la partie supérieure de la coque arrière est brillante, mais on a peu tendance à poser la main dessus. Les boutons, réunis sur la tranche droite du terminal, sont aisément accessibles aux petites mains, et l’emplacement du haut-parleur, en façade plutôt que sur la tranche inférieure, n’est pas obstrué quelle que soit la manière dont le smartphone est tenu. On apprécie en outre la légèreté du téléphone. Dans l’ensemble donc, et à condition d’aimer la griffe Google (qui par exemple revêt le bouton d’allumage d’un coloris fluo), le Pixel 3 est un smartphone très agréable à prendre en main, et dont on ne peut qu’apprécier la qualité de fabrication.

L’écran

Comparé aux écrans des smartphones haut de gamme actuels, le Pixel 3, malgré ses 5,5 pouces, semble presque jouer dans la cour des “petits”. Premier avantage à son crédit : avec sa définition Full HD+ que lui confère son ratio 18:9 (2160 x 1080 pixels), il offre une belle résolution de 442 ppp. Il a le bon goût de ne pas présenter l’encoche qui reste réservée au Pixel 3 XL, ce qui incite à lui pardonner un taux d’occupation de la façade de l’appareil limité à 77 %. Pour comparaison, les constructeurs les plus efficaces parviennent à proposer des écrans occupant plus de 85 % de la façade de leurs appareils, au prix le plus souvent d’une encoche ou d’un design clivant (par exemple, le format coulissant de l’Oppo Find X).

Google Pixel 3

© Fahim Alloul / LaboFnac

Quoi qu’il en soit, l’écran OLED du Pixel 3 fait mouche et montre la maîtrise de Google, malgré de menues imperfections. Sa colorimétrie est plus que satisfaisante, avec un delta U’V’ moyen contenu à 0,013 et de minces dérives à relever dans le rouge. On note au passage que l’utilisateur peut opter pour différents profils colorimétriques (naturel, contrasté, adaptatif) afin de personnaliser l’expérience. Le contraste est par ailleurs élevé, puisque nous l’avons mesuré à 412:5 avec 5 % de blanc, et s’avère par exemple supérieur à celui des derniers iPhone, mais inférieur à celui des derniers Galaxy S et Note de Samsung. Cet écran assure par ailleurs des dégradés très corrects, avec un gamma situé dans la fourchette haute des smartphones du moment.

Gamut du Google Pixel 3

© LaboFnac

Pour finir, on relève de bonnes performances en matière de directivité. Le Pixel 3 offre des angles de vision pour le moins confortables, même si d’autres smartphones parviennent à le surclasser. Pour 231 cd/m2 relevés de face, nous avons mesuré 212 cd/m2 lorsque le smartphone est observé dans un angle de 15°, puis 152 cd/m2 à 30° et 83 cd/m2 à 45°. Ce n’est donc qu’en inclinant largement le smartphone que l’on observe une baisse significative de la luminosité.

Directivité Pixel 3

© LaboFnac

Fidelité des couleurs
7.7
Contraste et progressivité
7
Directivité
8
Densite des pixels
5

L’interface utilisateur

Le Pixel 3, comme le Pixel 3 XL, inaugure Android 9.0 Pie dans une version dépourvue d’interface constructeur. Cette version de l’OS est taillée pour offrir un usage aussi simple qu’efficace à l’utilisateur. Nous avons répertorié l’essentiel des nouveautés de Pie dans ce dossier, que nous vous invitons à consulter pour plus de détails.

Google Pixel 3

© LaboFnac

Sur le smartphone qui nous intéresse ici, plusieurs points sont à noter. D’abord, Google met à profit sa dalle OLED et propose un affichage permanent de l’heure et des notifications sur l’écran éteint de son appareil (option à activer dans les paramètres) : une relecture de l’Always-On Display que l’on ne peut qu’apprécier. La gestion des notifications se fait précise, le smartphone “apprenant” au fil des jours les habitudes de l’utilisateur : il est ainsi possible de choisir de ne plus recevoir des notifications que l’on a l’habitude de supprimer sans les lire. Les applications, peu nombreuses sur l’écran d’accueil, sont rassemblées dans un tiroir accessible via un swipe vers le haut très adapté au format relativement compact du smartphone, qui invite à un usage à une main. Si des essentiels manquent, tel le dictaphone, on repère quelques autres nouveautés. Tel l’onglet “bien-être numérique” qui permet de visualiser très simplement le temps passé sur chaque type d’applications, mais aussi de définir des temps d’usages pour chacune. Si cette fonction n’est pas exclusive au Pixel 3, le mode “chut” qui se cache dans l’onglet Bien-être numérique permet d’activer le mode “ne pas déranger” en retournant le téléphone, écran vers une table ou une surface plane, et lui est réservé.

Google Pixel 3

© LaboFnac

Logiquement tourné vers Google Assistant, le Pixel 3 hérite du savoir-faire de HTC, qui avait inauguré l’option Edge Sense sur son U11. Il suffit donc de “presser” les côtés du smartphone pour lancer l’assistant vocal. Un double-clic sur la touche Power permet quant à elle de lancer l’appareil photo.

Google Pixel 3

© LaboFnac

Les performances

Le Pixel 3 fait appel à la plateforme la plus perfectionnée à sa présentation, à savoir le Snapdragon 845 de Qualcomm. La puce mobile compte huit cœurs, dont quatre Kryo 385 Gold à 2,5 GHz et quatre Kryo 385 Silver à 1,6 GHz, embarque un GPU Adreno 630 et est flanquée de 4 Go de mémoire vive. Sur ce point, Google ne joue pas la surenchère, à l’heure où les smartphones à 8, voire 10 Go de mémoire vive commencent à apparaître.

Cet équipement sans arrogance, évalué à l’aune de notre protocole Labo, assure des performances dans le sillage des smartphones Android haut de gamme. Le Pixel 3 affiche ainsi 17 fps (temps de réponse de 58 ms) à notre premier palier de test JavaScript, puis 10 fps (104 ms) à notre second niveau d’exigence. À l’exécution de processus complexes, il descend à 7 fps (149 ms), puis à notre degré le plus élevé, à 5 fps (temps de réponse de 191 ms). Dans les faits, les ralentissements sont imperceptibles, à de rares exceptions, et le smartphone se montre adapté aux power users, c’est-à-dire aux utilisations les plus intensives. On notera en outre que le Snapdragon 845 n’a, selon notre protocole Labo, jamais été aussi bien exploité qu’au sein de ce Pixel 3, qui devance même non seulement les autres smartphones équipés comme les Xperia XZ2 de Sony, mais aussi les Galaxy S9 et Note 9 sous Exynos de Samsung pour ne laisser filer devant lui que les iPhone et quelques smartphones Huawei/Honor sous chipset Kirin.

La photo et la vidéo

Google se distingue des smartphones haut de gamme concurrents par un point essentiel : au lieu de multiplier les modules photo au nombre de deux, trois voire quatre selon les constructeurs, il n’en propose qu’un seul au dos de ses Pixel. Mountain View promet de compenser par le traitement logiciel qu’il apporte aux clichés. Pari réussi ? Sans nul doute oui.

Google Pixel 3

© Fahim Alloul / LaboFnac

Pour séduire, Google propose donc un unique appareil photo avec capteur de 12,2 mégapixels (pixels de 1,4 µm), une ouverture de f/1.8, une optique de 28 mm et un système de stabilisation optique. Les résultats sont étonnamment bons, notamment en plein jour, et nos relevés Labo (réalisés en mode automatique) confirment ces bonnes impressions. La résolution offerte par l’appareil photo dorsal est proprement excellente, avec une qualité aussi satisfaisante au centre qu’aux bords de l’image et la possibilité de réellement zoomer dans les clichés sans perdre en qualité. Si l’on relève quelques aberrations chromatiques, l’optique associée au capteur dorsal ne présente que très peu de déformation géométrique et pas d’astigmatisme. La restitution des détails est très satisfaisante elle aussi.

On apprécie en outre à l’usage les différents niveaux de traitement HDR, baptisés HDR+ et HDR+ amélioré, qui selon les situations permettent de déboucher des zones surexposées. En basse luminosité, ils rendent d’ailleurs de précieux services, permettant d’obtenir des clichés au rendu étonnamment peu lissé et peu marqué par le bruit numérique. Google pousse le bouchon un peu plus loin par le biais de son option “Vision de Nuit”. Cette dernière, proposée dans les réglages de l’application, mais aussi sous la forme d’une petite recommandation “pop-up” affichée à l’écran lorsque la luminosité baisse, offre une couche de traitement logiciel supplémentaire. Mêlant capture multiple de photos, plus ou moins longues selon que le smartphone est stable ou que la capture est faite à main levée, mais aussi reconnaissance d’objets permettant d’adapter la balance des blancs, l’option est proprement bluffante. Elle manque parfois de naturel, le traitement ayant tendance à “blanchir” les scènes à outrance, mais permet de restituer des détails tout bonnement invisibles à l’œil nu. Pour un traitement plus naturel sur des scènes conservant un peu de luminosité, on privilégiera néanmoins un simple mode HDR+ amélioré.

On relève en outre quelques autres options logicielles, tel “Top Shot” qui permet de choisir le meilleur cliché parmi une série de photos prises en rafale, mais aussi un zoom numérique parvenant presque à égaler la qualité des zooms optiques proposés par la concurrence. En somme, on ne peut que saluer le travail logiciel fourni par Google.

Le Pixel 3 propose tout de même un duo d’appareils photo, mais en façade : un de 8 mpx (f/1.8) avec une optique 28 mm, et le second de 8 mpx également, mais avec une ouverture à f/2.2 et une optique ultra-grand-angle (19 mm). Nous avons relevé en Labo une excellente qualité au centre de l’image et, avec le capteur principal, une homogénéité très correcte qui sans surprise est bien moindre avec le second capteur. Toutefois, la qualité est là est les possibilités de recadrage sont très correctes. Les optiques associées sont de qualité, si ce n’est un peu d’aberration chromatique à relever. La déformation géométrique est très contenue, même avec le second capteur :  le traitement apporté aux clichés compense l’inévitable distorsion sur les côtés lorsque le grand-angle est utilisé. Nos mesures de sensibilité montrent néanmoins quelques difficultés à restituer textures et détails, notamment pour le second capteur frontal.

Pour finir, le smartphone permet de filmer en 4K à 30 fps, contre 60 fps pour certains modèles concurrents. Il ne permet de créer des vidéos slow-motion qu’à 240 fps.

Le rendu audio

Sans grande surprise, le Pixel 3 délivre une qualité audio très convenable au regard de son format qui, finesse oblige, impose d’ailleurs l’abandon de la traditionnelle prise jack au profit d’un USB Type-C assorti d’un adaptateur. La sortie casque est de facture honorable, sans trop de distorsion, associée d’ailleurs à des écouteurs passables. S’ils délivrent un son de qualité et offrent une bonne sensibilité (106 mV), ces modèles au format semi-intra sont grevés par une isolation passive inefficace. Les haut-parleurs du smartphone, dont la puissance est limitée à 66 dB, offrent quant à eux une bande passante acceptable, où les médiums sont bien audibles, tandis que les basses et extrêmes aigus sont à la traîne. Classique, en somme.

Réponse en fréquences des Haut-Parleurs
©Labo Fnac
Qualité audio
7.1

La qualité de réception (performances radio)

Le Pixel 3 est compatible avec la 4G de catégorie 16. Il assure de bonnes performances globales en matière de réception réseau, avec toutefois de légères faiblesses. Côté réseau GSM, il s’avère aussi sensible que peu directif sur la bande 900, mais manque de sensibilité sur la bande GSM 1800. Il compense néanmoins par un très bon comportement en 3G, et globalement en 4G. Le smartphone excelle particulièrement sur la bande 2600 MHz (bande 7) grâce à ses débits élevés et sa faible directivité. Il est également convaincant sur la bande 3 (1800 MHz), et pèche davantage sur la bande 20 (800 MHz), où il se montre un peu plus directif. Globalement, pas d’inquiétude à avoir : le smartphone captera le réseau même dans les zones peu ou mal couvertes.

Communication
7.5
Note 2G
6.7
Note 3G
8
Note 4G
7.5

L’autonomie

Petit smartphone signifie également capacité moindre. Le Pixel 3 est donc doté d’un accumulateur de 2915 mAh, contre 3430 mAh pour le Pixel 3 XL. Il peut être chargé par le biais de son port USB Type-C, et est d’ailleurs fourni avec un chargeur 18 W/2 A. Nous avons mesuré, pour une charge de 0 à 100 %, un temps de 1h45 franchement convaincant. Le chargeur sans fil de Google, baptisé Pixel Stand (mais vendu à part) propose également un système de charge rapide. Des qualités certaines, mais qui ne doivent pas faire oublier que le Pixel 3 n’est pas un monstre d’autonomie. Élève correct, sans plus, en la matière, il assure en moyenne 7h40 de lecture web avant extinction. Il parvient dans les faits à offrir une journée d’usage, mais pas beaucoup plus.

Autonomie
4
Temps de charge
01:45:00

Conclusion

Note LABOFNAC

Le Pixel 3 est sans nul doute une véritable réussite. Joli sans être révolutionnaire, il parvient à séduire alors même qu’il n’atteint pas l’excellence de ses concurrents directs sur certains points – son écran n’est pas réellement borderless, son autonomie est bonne, sans plus, et il ne joue pas la surenchère en matière de capteurs photo. Et pourtant, il convainc sans peine, puisqu’aucune véritable lacune, à l’exception peut-être de son stockage non extensible, ne vient ternir sa prestation. Il s’impose comme un véritable photophone malgré son unique appareil photo dorsal, propose un bel écran adapté au visionnage de contenus multimédias et bénéficie d’un logiciel simple, mais très efficace.

Note technique

Détail des sous notes

Réseau et connectivité
Écran
Photo
Capteur principal (arrière)
Capteur frontal (selfie)
Autonomie
Performance et rapidité
Qualité audio
Article rédigé par
Laure Renouard
Laure Renouard
Journaliste
Jean-Charles Frelier
Jean-Charles Frelier
Responsable des tests smartphones, casques audio et lecteurs vidéo
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